Couteau de tranchée britannique, ROBBINS DUDLEY, WWI
1 295,00 €
TTC
Couteau de combat britannique de type Push Dagger, d'origine Première Guerre, fabriqué par Robbins Dudley. La poignée en aluminum moulé présente une garde destinée à protéger le majeur, l'annulaire et l'auriculaire, tandis que l'index vient prendre place au-dessus de la lame. Cette dernière dispose d'une double gouttière sur chaque face. S'agissant d'une arme d'estoc, le fil n'est pas tranchant.
Plusieurs types de couteau de tranchée seront produits par ce fabricant pour répondre aux besoins du Tommy : conçu pour être utilisé à la manière d'un poing américain, ce modèle d'acquisition personnelle constituait une arme d'appoint particulièrement appréciée du fantassin britannique dans les corps-à-corps. Quelques exemplaires resteront en service dans certaines unités d'élite au cours du conflit suivant, notamment chez les commandos et les parachutistes.
Livré dans son fourreau en cuir d'origine, avec sa sangle de jambe.
Ensemble homogène, en très bon état général. Longueur de la lame : 11 cm.
Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée. Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.