Reproduction de billets d’invasion comprenant plusieurs coupures en francs français : 100 francs, 50 francs, 10 francs, 5 francs et 2 francs.
Les monnaies d’invasion, créées par les Alliés pour les zones occupées, visaient à soutenir l'économie locale et à servir de paiement pour les troupes. Pour le débarquement de Normandie, 3 milliards de francs ont été envoyés en France.
Deux séries de billets alliés furent émises :
- La série additionnelle (1944) avec le drapeau tricolore, en coupures de 2 à 1000 francs.
- La série provisoire (1944), sans drapeau, en coupures de 50, 100 et 1000 francs, imprimée aux États-Unis avec l'accord des autorités françaises.
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Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée. Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.