Crest émaillé d'origine Deuxième Guerre de la Première Armée Française (Rhin & Danube) commandée par le Maréchal De Lattre de Tassigny.
Très bon état. Fermeture à écrou.
1.5 cm.
Mi-1944 : création à partir des divisions du corps expéditionnaire français en Italie. 15 août : débarquement en Provence. 28 août : prise de Toulon. 29 août : prise de Marseille. 3 septembre : libération de Lyon et Villefranche. 8 septembre : prise d’Autun. 12 septembre : jonction avec l’Armée venant de Normandie. 4 octobre : début de la bataille des Vosges. 18-21 novembre : bataille d’Alsace. 20 janvier-9 février 1945 : bataille de Colmar. 19 mars : entrée en Allemagne. 4 avril : Karlsruhe sur le Rhin. 24 avril : Ulm sur le Danube. 8 mai : le Général de Lattre de Tassigny représente la France à la capitulation de l’Allemagne nazie à Berlin.
Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée. Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.