Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, les histoires et les légendes sur l'emploi du cricket ont foisonné et été amplifiées. De nombreuses contrevérités ont été colportées par divers médias et ont participé à déformer l'histoire de l'incongru petit objet, certainement le moins guerrier de tout l'équipement porté par le parachutiste.
Cet livret, largement illustré, s'appuyant sur des faits historiques, des interviews de personnalités clés de l'instauration du cricket au sein des unités aéroportées, et des documents d'époque, tente de démonter les idées reçues et relater la véritable histoire du légendaire cricket du Jour-J. Qui est à l'origine du cricket, où a-t-il été produit et qui l'a produit? Quel modèle à réellement été utilisé et quelles unités l'ont employé ? Pour la première fois, les réponses à ces questions ont été apportées.
Version française - 220 x 150 mm - Couverture souple - 24 pages - 50+ illustrations
Livré avec une reproduction du cricket à l'échelle 1/1.
Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée. Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.