Crest d'origine Deuxième Guerre de la 11th Airborne Division qui combattra à Leyte, Manille et Cavite (Philippines). Fermeture à épingle fonctionnelle.
Durant la première moitié de 1944, l'unité reste en réserve avant d'être transférée sur le théâtre du Pacifique en juin 1944. À son arrivée, elle subit un entraînement intense pour s'acclimater aux conditions locales et est jugée apte au combat en novembre. Elle combat pour la première fois sur l'île de Leyte dans les Philippines, en tant qu'unité d'infanterie traditionnelle. En janvier 1945, la division prend part à l'invasion de Luçon. L'ensemble de la division participe à la bataille de Manille et deux compagnies de parachutistes lancent un raid audacieux sur le camp de prisonniers de Los Baños, libérant deux mille civils. La dernière action de guerre de la 11th Airborne Division consiste en des combats au nord de Luçon, autour d'Aparri, en soutien des forces américaines et philippines qui tentent d'éliminer la résistance japonaise sur l'île.
Le 30 août 1945, la division est envoyée au sud du Japon, comme composante de la force d'occupation. Quatre ans plus tard, elle est rappelée aux États-Unis, où elle devient une formation d'instruction.
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Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.