Crest d'origine Deuxième Guerre, de la 88th Infantry Division "Fighting Blue Devils" ou "Clover Leaf Division". Fermeture à épingle fonctionnelle.
La 88th Infantry Division est une des premières divisions de conscrits à être envoyée au combat puisqu'elle débarque en Afrique du Nord à la fin de l'année 1943, où elle poursuit son entraînement. Au début de l'année 1944, elle est transférée en Italie où elle connaît ses premiers combats, participant à lutte contre la ligne Gustave, la puissante position défensive allemande dans la péninsule italienne. Elle progresse jusqu'à Anzio à la fin du mois de mai et certains de ses éléments sont parmi les premières forces américaines à pénétrer dans Rome, le 4 juin 1944. Après une période de repos, elle est à nouveau engagée en septembre 1944 contre la ligne Gothique, étant souvent contrainte d'adopter une posture défensive. En revanche, en avril 1945, elle prend part à l'offensive de printemps, traversant le Pô le 24 avril, tandis que les villes de Vérone et de Vincenza sont prises fin avril.
Elle progresse ensuite en direction d'Innsbrück en Autriche, où elle fait sa jonction le 2 mai, avec des éléments de la 103rd Infantry Division venant du nord.
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Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.