

Crayon medical, américain U.S.A. Blaisdell, d'origine Deuxième Guerre.
Les crayons de marquage pour la peau étaient des outils essentiels des Medics. Généralement à base de graisse, ils étaient conçus pour écrire directement sur la peau et étaient très résistants à l’eau, ce qui permettait aux inscriptions de rester visibles même dans des conditions difficiles.
Les médecins utilisaient ces crayons de plusieurs façons :
1. Marquage pour le triage : Dans le chaos des combats, les médecins utilisaient ces crayons pour marquer rapidement les soldats blessés en fonction de la gravité de leurs blessures. Cela permettait un triage plus rapide et plus efficace, aidant les équipes d’évacuation à prioriser les soins.
2. Enregistrement des signes vitaux et des traitements : Sur le champ de bataille, documenter les signes vitaux d'un soldat, son groupe sanguin, ou tout traitement immédiat pouvait être difficile. Les médecins écrivaient souvent ces informations directement sur la peau, notamment sur le front ou le bras. Cela permettait au personnel médical suivant d’avoir accès immédiatement aux informations critiques.
3. Identification des doses de morphine : La morphine était souvent administrée pour soulager les douleurs sévères. Pour éviter le risque de surdosage, les médecins marquaient un "M" et l’heure de l’administration directement sur la peau du soldat blessé.
4. Réduction des risques d’infection : L’utilisation des crayons de marquage réduisait le besoin d’attacher des étiquettes en papier ou d’autres matériaux qui pouvaient potentiellement contaminer les blessures ou compliquer le processus de triage. Les crayons à base de graisse offraient une solution pratique et peu risquée pour communiquer des informations essentielles.
Ces crayons de marquage faisaient partie du kit des medics permettant une communication claire et rapide sur le champ de bataille
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Crayon medical, américain U.S.A. Blaisdell, d'origine Deuxième Guerre.
Les crayons de marquage pour la peau étaient des outils essentiels des Medics. Généralement à base de graisse, ils étaient conçus pour écrire directement sur la peau et étaient très résistants à l’eau, ce qui permettait aux inscriptions de rester visibles même dans des conditions difficiles.
Les médecins utilisaient ces crayons de plusieurs façons :
1. Marquage pour le triage : Dans le chaos des combats, les médecins utilisaient ces crayons pour marquer rapidement les soldats blessés en fonction de la gravité de leurs blessures. Cela permettait un triage plus rapide et plus efficace, aidant les équipes d’évacuation à prioriser les soins.
2. Enregistrement des signes vitaux et des traitements : Sur le champ de bataille, documenter les signes vitaux d'un soldat, son groupe sanguin, ou tout traitement immédiat pouvait être difficile. Les médecins écrivaient souvent ces informations directement sur la peau, notamment sur le front ou le bras. Cela permettait au personnel médical suivant d’avoir accès immédiatement aux informations critiques.
3. Identification des doses de morphine : La morphine était souvent administrée pour soulager les douleurs sévères. Pour éviter le risque de surdosage, les médecins marquaient un "M" et l’heure de l’administration directement sur la peau du soldat blessé.
4. Réduction des risques d’infection : L’utilisation des crayons de marquage réduisait le besoin d’attacher des étiquettes en papier ou d’autres matériaux qui pouvaient potentiellement contaminer les blessures ou compliquer le processus de triage. Les crayons à base de graisse offraient une solution pratique et peu risquée pour communiquer des informations essentielles.
Ces crayons de marquage faisaient partie du kit des medics permettant une communication claire et rapide sur le champ de bataille
Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée.
Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.