Véritable briquet en métal de fabrication Zippo. Identique au modèle introduit en juillet 1942, dans sa superbe finition Black Crackle Finish, typique du modèle distribué aux forces armées américaines.
Livré dans sa boite. Le Zippo n'a jamais été adopté officiellement par l'armée américaine, mais George G. Blaisdell, la livrait en priorité. Si les officiers les plus gradés recevaient gracieusement leur Zippo, c'est au mess et dans les magasins militaires "PX" que les soldats choisissaient Zippo pour le prix, la robustesse et surtout la fiabilité. Ultime atout inappréciable en tant de guerre, la finition irrégulière Crackle Finish se transforme en avantage puisqu'il rend la surface "anti-reflet", ce qui évitait d’attirer l’attention de l’ennemi. Les Zippos porteront la référence PAT 2032695.
Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée. Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.